Souvent ce mécanisme s’installe sans que la personne ne s’en rende compte et pourtant le soulagement qu’apporte l’aliment n’est que de très courte durée. Ainsi ce comportement peut amener à une prise de poids et les conséquences délétères qui s’en suivent. On dit aussi que l’on « mange ses émotions ». Le cerveau perçoit alors l’alimentation comme un réconfort suite à un inconfort psychologique (stress, peur, déception, tristesse, colère…).
Cette habitude devient parasite si elle est systématique. Nul besoin de culpabiliser si une fois de temps en temps vous mangez du chocolat après une discussion tendue ! Pour identifier le trouble comportemental alimentaire, il faut se poser quelques questions simples :
Les réponses à ces questions apportent des clés pour comprendre son attitude lorsqu’émotions et alimentation se heurtent.
L’alimentation, bien que sociale et associée au plaisir doit rester un comportement sain et naturel qui est lié aux sensations de faim et de satiété. Pour se rapprocher de cela et arrêter de manger ses émotions, il faudra d’abord identifier les moments où les apports alimentaires sont dits émotionnels. Ecrire ses prises alimentaires et l’humeur associée lors de cette consommation permet de prendre conscience des raisons qui nous amènent à manger.
Lorsqu’une envie arrive, se demander si c’est de la faim ou simplement une envie liée à une situation. Si vraiment l’envie de manger est irrésistible alors plusieurs choses sont à mettre en place. Tout d’abord manger doucement, en se concentrant sur l’aliment et en se demandant à chaque bouchée si on a envie encore de la suivante. Ensuite le choix devra se porter de plus en plus vers des aliments plus sains. Sans passer directement de la barre chocolatée à la mandarine mais progressivement tendre vers une vraie collation saine si l’appétit est là ou bien réduire les portions / la fréquence si la gestion des émotions est la cause de la prise alimentaire. De plus si les repas classiques ne sont pas assez conséquents ou non équilibrés, une personne qui a l’habitude de se tourner vers les aliments pour gérer ses émotions verra ce comportement exacerbé si la faim commence à se faire ressentir même très légèrement.
Kriss‑Laure vous propose toute une gamme d’alternatives saines que ce soit pour avoir des repas qui comblent la satiété ou pour des collations équilibrées grâce notamment à leur richesse en protéines et en fibres. Par exemple, vous pouvez compter sur les repas Idée Délice ou les Smart Repas pour des repas sains et équilibrés. Les Barres Gourmandes sont idéales en collation avec moins de 150 kcal par portion. Le fait de consommer des repas et collations avec des compositions nutritionnelles contrôlées peuvent vous permettre d’éviter les grignotages et la tendance à consommer des aliments gras et sucrés lorsque vous êtes submergés par les émotions.
Sources :
- www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0924933815002680
- www.coeuretavc.ca/articles/manger-ses-emotions-comment-y-mettre-fin
- Livre « Cessez de manger vos émotions » d’Isabelle Huot et Catherine Senecal
Le rôle protecteur des fibres sur la santé humaine a été suggéré il y a près de 40 ans, au cours d’études sur les Indiens Pimas dans les années 1970. Ce peuple de chasseurs-cueilleurs avait traditionnellement une alimentation très riche en fibres ; après un passage à une alimentation de type occidental, caractérisée notamment par sa pauvreté en fibres, les Indiens Pimas ont été frappés par des taux très élevés d’obésité et de diabète de type 2. Les scientifiques ont alors avancé l’hypothèse que les fibres agissaient favorablement sur la glycémie et les taux d’insuline, en favorisant la rétention d’eau et la formation d’un « gel » dans le tube digestif.
Aujourd’hui, le lien entre fibres et santé humaine est reconnu, mais on sait également que l’effet « gel » n’est pas le seul responsable de ces bénéfices. En effet, les avancées scientifiques ont permis de montrer que ces fibres pouvaient être fermentées par le microbiote intestinal, libérant des molécules actives et protectrices vis-à-vis de l’hôte. Les acides gras à chaîne courte (short chain fatty acids, SCFA) sont les plus célèbres de ces molécules, mais la découverte d’autres molécules n’est pas à exclure. Finalement, les bénéfices physiologiques reconnus par le Codex Alimentarius pour les fibres, qu’elles soient naturellement présentes ou ajoutées dans un aliment, sont les suivants :
Au-delà de ces bénéfices partagés, le groupe des fibres est extrêmement hétérogène, que ce soit en termes de composition, de structure, et de souches bactériennes dont le développement pourrait être favorisé. Il n’est pas toujours facile de s’y retrouver, et un retour aux définitions et classifications officielles s’impose. Selon la définition de 2008 du Codex Alimentarius, les fibres regroupent tous les polymères glucidiques et incluent :
Certaines fibres, malgré leurs bénéfices incontestables, peuvent néanmoins provoquer un inconfort intestinal (voir article Confort intestinal : troubles et symptômes). Il ne s’agit donc pas d’ajouter des fibres au hasard ; mais au contraire de sélectionner, sur la base des études scientifiques existantes, celles qui exerceront leurs bénéfices sans pour autant conduire à un inconfort intestinal. Par exemple, les études scientifiques montrent que les fibres d’acacia et de glucomannane sont peu fermentiscibles, tout en exerçant un certain nombre de bénéfices.
Les produits Kriss‑Laure comportent une association exclusive de fibres sélectionnées pour leurs compositions diverses, cela permet d’offrir un plus large panel de bénéfices. Au-delà de cette association exclusive, l’objectif est aussi, à travers la consommation des produits Kriss‑Laure, de pouvoir atteindre l’apport nutritionnel conseillé de 25g/jour, tel que préconisé par l’Anses. Pour exemple, les produits de la gamme Tonic, ou les Barres Gourmandes, comportent de la gomme d’acacia, un ingrédient riche en fibres solubles variées dont l’effet sur la satiété (par la formation d’un gel dans l’intestin) ont été démontrés par plusieurs travaux scientifiques. Autre exemple, les Entremets, les repas Idée Délice ou les Potages intègrent dans leur composition des glucomannanes, dont les bénéfices sur le cholestérol et la perte de poids ont été démontrés. La consommation des produits de la gamme permet donc d’apporter exclusivement des fibres sélectionnées pour leurs différents bénéfices sur la satiété, la perte de poids et le cholestérol.
Bibliographie Delzenne, N. M., Olivares, M., Neyrinck, A. M., Beaumont, M., Kjølbæk, L., Larsen, T. M., ... & Sanz, Y. (2020). Nutritional interest of dietary fiber and prebiotics in obesity: Lessons from the MyNewGut consortium. Clinical Nutrition, 39(2), 414-424. Stephen, A. M., Champ, M. M. J., Cloran, S. J., Fleith, M., Van Lieshout, L., Mejborn, H., & Burley, V. J. (2017). Dietary fibre in Europe: current state of knowledge on definitions, sources, recommendations, intakes and relationships to health. Nutrition research reviews, 30(2), 149-190. Van Hul, M., & Cani, P. D. (2019). Targeting carbohydrates and polyphenols for a healthy microbiome and healthy weight. Current nutrition reports, 8(4), 307-316.
Comment la caféine peut-elle agir sur la performance sportive ? Le principal mécanisme d’action de la caféine correspond à une action indirecte sur le cerveau, et la sensation de fatigue. La fatigue peut se ressentir lorsque l’adénosine, molécule produite naturellement par l’organisme, vient se lier aux récepteurs du cerveau. Or, la caféine a une structure chimique très proche de celle de l’adénosine. Par conséquent, la caféine peut prendre la place de l’adénosine au niveau des récepteurs cérébraux, et donc supprimer la sensation de fatigue. Ce mécanisme d’action a été confirmé par des études d’imagerie cérébrale menée chez des sportifs, et correspond bien à l’effet « excitant » bien connu de cette substance.
D’autres mécanismes d’action de la caféine sont souvent évoqués, mais moins bien démontrés que l’action indirecte sur le cerveau. Tout d’abord, la caféine peut augmenter la libération du calcium dans le muscle : le calcium étant indispensable pour la contraction musculaire, ceci pourrait expliquer une partie des effets de la caféine. Ensuite, une autre hypothèse en vogue associe la caféine à une meilleure utilisation des lipides pendant l’effort physique : cet effet provoquerait alors une épargne des glucides, qui sont d’habitude privilégiés par le muscle, et expliquerait pourquoi la caféine est efficace pour les efforts de longue durée. Cependant, ces deux mécanismes sont moins étayés sur le plan scientifique. Quelle que soit la manière dont la caféine agit pour améliorer la performance physique, cette efficacité se retrouve sur une large gamme d’efforts physiques : aussi bien des efforts courts et explosifs, que des efforts longs et de faible intensité.
Les sociétés savantes ne se contentent pas de montrer l’efficacité de la caféine ; elles soulignent aussi les dangers associés à de trop fortes doses ingérées. L’ISSN insiste notamment sur l’absence de bénéfices, voire des effets secondaires graves, pour des doses supérieures à 9 mg/kg poids corporel. De son côté, l’AIS rappelle de manière générale que l’évaluation de la sécurité d’un ingrédient/aliment en vue d’une performance sportive doit toujours être la première étape, avant d’envisager l’efficacité de l’ingrédient/aliment. Plus spécifiquement en lien avec la caféine, l’AIS rappelle que la plupart des agences de sécurité sanitaire mondiales s’accordent sur une sécurité pour des doses inférieures à 400 mg/jour (sauf pour les femmes enceintes), et inférieures à 200 mg en une prise. De plus, elle souligne que les enfants sont des populations à risque, ce que l’Anses avait déjà pointé du doigt en 2013 dans son rapport sur les boissons énergisantes. La consommation de caféine, si elle peut s’accompagner de bénéfices sur la performance, doit donc être modérée.
La gamme des produits Kriss‑Laure Tonic comporte, pour chaque saveur, de l’extrait de café vert qui contribue à l’apport avant l’effort en caféine, et à bien préparer l’effort physique. Justement dosé, cet extrait apporte la quantité nécessaire de caféine pour impacter positivement la performance sportive.
La boisson de l’effort Krissport est en revanche dépourvue de caféine, en raison des normes antidopage en vigueur et qui sont en constante évolution.
Bibliographie
Australian Institute of Sports, www.ais.gov.au/nutrition/supplements/group_a#caffeine
MySportScience, www.mysportscience.com/post/how-does-caffeine-work
GOLDSTEIN, Erica R., ZIEGENFUSS, Tim, KALMAN, Doug, et al. International society of sports nutrition position stand: caffeine and performance. Journal of the International Society of Sports Nutrition, 2010, vol. 7, no 1, p. 1-15.
GUEST, Nanci S., VANDUSSELDORP, Trisha A., NELSON, Michael T., et al. International society of sports nutrition position stand: caffeine and exercise performance. Journal of the International Society of Sports Nutrition, 2021, vol. 18, no 1, p. 1-37.
Anses, Evaluation des risques liés à la consommation de boissons dites « énergisantes ». www.anses.fr/fr/system/files/NUT2012sa0212.pdf
Les lipides (aussi appelés graisses), constituent avec les protéines et les glucides une des trois grandes familles de macronutriments, et sont essentiels au bon fonctionnement de l’organisme. Mais pas évident de s’y retrouver parmi tous ces termes : acides gras saturés, acides gras monoinsaturés, acides gras polyinsaturés, triglycérides, cholestérol. Quels sont leurs rôles dans l’organisme ? Comment bien les répartir ? Bonnes et mauvaises graisses, comment choisir les aliments ?
Dans l’alimentation, on retrouve les lipides sous deux formes principales : les triglycérides qui représentent 95 à 98 % des lipides alimentaires et les phospholipides qui eux représentent 2 à 5 %. Ils sont tous deux constitués d’acides gras. Parmi les acides gras, on distingue 3 catégories :
On retrouve également dans notre alimentation des composés à caractère lipidiques, c’est-à-dire qu’ils ne contiennent pas d’acides gras dans leur structure mais se comportent de la même manière : le cholestérol et les vitamines liposolubles.
Les lipides ont des rôles multiples au sein de l’organisme :
Souvent considérés comme mauvais pour la santé, ces macronutriments ont tendance à être négligés. Pourtant ils sont indispensables au bon fonctionnement de l’organisme et bénéfiques pour la santé lorsqu’ils sont correctement sélectionnés et répartis tout au long de la journée.
Sources alimentaires d’oméga 3 : huile de noix, huile de noisette, huile de colza, huile de lin, graines oléagineuses (amandes, noix, noisettes…) et poissons gras (sardines, saumons, maquereaux…). Sources alimentaires d’oméga 6 : Huile de pépin de raisin, huile de tournesol, huile de sésame…
Quant aux acides gras trans, ils sont fabriqués via des procédés industriels. On les retrouve donc principalement dans les produits transformés. Ils sont à éviter voire à bannir de l’alimentation car ils sont corrélés à une augmentation des maladies coronariennes.
Dans les pays occidentaux, le cholestérol a très mauvaise réputation car il est très souvent associé aux maladies cardiovasculaires. En effet, l’hypercholestérolémie est un problème de santé publique majeure. Pourtant, ce dernier est indispensable au bon fonctionnement de l’organisme. Il est apporté en petite quantité par l’alimentation (œufs, beurre, charcuterie…) mais est en majeur partie produit par le foie. Ainsi, un taux élevé de cholestérol sanguin est principalement lié à un dysfonctionnement de la régulation du cholestérol au niveau du foie.
L’ensemble des produits Kriss‑Laure sont élaborés par des nutritionnistes et répondent aux besoins de l’organisme.
Les Entremets, Potages, Tonics et Smart Repas Kriss‑Laure ont été développés avec une association d’huiles (de colza et huile de pépin de raisin), pour apporter des oméga 3 selon un rapport oméga 6 / oméga 3 idéal.
Au quotidien, notre organisme s’active afin de maintenir une température corporelle à 37°C. C’est ce qu’on appelle la thermorégulation. En effet, pour fonctionner, de nombreuses réactions chimiques ont lieu dans l’organisme.
Ces réactions sont énergivores et dégagent ainsi de la chaleur. En cas de fortes chaleurs l’organisme doit redoubler d’effort pour que notre température corporelle ne s’élève pas de façon anormale. Pour ce faire, plusieurs mécanismes s’opèrent :
- Dilatation des vaisseaux sanguins afin de faciliter l’évacuation de la chaleur
- Sudation entrainant d’importantes pertes en eau et en minéraux
Manger entraîne des réactions chimiques et donc un dégagement de chaleur. C’est pourquoi, en cas de fortes chaleurs, nous pouvons adapter notre alimentation afin de ménager notre organisme, de pallier la perte en eau et en minéraux et de limiter les efforts liés à la digestion.
Les fruits et les légumes sont des aliments très riches en eau (en moyenne 90 %), ils sont donc fortement recommandés en période de fortes chaleurs. En salade ou encore sous forme de gaspacho ils seront sources de plaisir au cours des repas. Toutefois, il faut varier entre les crudités et les cuidités. Les crudités sont plus difficiles à digérer et peuvent causer des désordres au niveau du transit.
Nous avons moins faim lorsqu’il fait chaud et c’est normal puisque manger réchauffe le corps. Dans ce cas, il peut être envisagé de fractionner son alimentation. Cela permet d’apporter tous les éléments nutritifs nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme tel qu’en conservant 3 repas par jour plus légers (petit-déjeuner, déjeuner et dîner) et d’y ajouter une collation dans la matinée et une autre dans l’après-midi.
Plus les repas sont lourds et copieux, plus la digestion va être longue et difficile. Qui dit digestion, dit production d’énergie donc de chaleur. Afin d’éviter cela, limiter la viande rouge, les plats en sauce, les fritures car ce type de plats sont aussi plus longs et difficiles à digérer…
Les boissons sucrées ne désaltèrent pas contrairement au ressenti qu’elles peuvent procurer. Le sucre donne soif ! Lorsqu’il arrive dans le sang, il engendre une migration de l’eau des cellules de l’organisme vers le sang pour réguler la circulation sanguine. Les cellules de l’organisme envoient alors un message au cerveau indiquant une sensation de soif.
C’est bien connu, même si le verre de vin en terrasse peut être tentant l’été, l’alcool déshydrate. En effet, l’alcool inhibe au sein de l’organisme l’action d’une hormone antidiurétique : la vasopressine. Ainsi, consommer de l’alcool tendra à faire augmenter le volume des urines et favorisera des phénomènes de déshydratation.
On connaît l’importance de s’hydrater au quotidien. En période de fortes chaleurs, il est encore plus important de boire tout au long de la journée pour pallier les pertes liées à la sudation. Quant aux boissons chaudes de type thé, café, tisane attention à ne pas en abuser car elles ont aussi un effet diurétique.
En période de chaleur, on préférera boire et manger froid et c’est tout à fait normal. Il ne faut pas tomber dans l'excès, boire et manger trop froid voire glacé n’est pas forcément recommandé car cela envoie un mauvais signal au cerveau ralentissant voire stoppant la sudation. L’organisme tente alors de se réchauffer au lieu d’éliminer la chaleur par la sudation.
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Deux éléments sont à distinguer : les troubles gastro-intestinaux fonctionnels, et les symptômes gastro-intestinaux. Les premiers correspondent à des maladies, comme le syndrome de l’intestin irritable, ou la Maladie de Crohn ; les seconds sont des troubles occasionnels, qui peuvent survenir chez des personnes bien portantes et affecter la qualité de vie de manière passagère, mais significative. L’Organisation Mondiale de Gastro-entérologie, dans ses recommandations de 2012 et 2013, identifie quatre symptômes gastro-intestinaux : les brûlures rétrosternales, les ballonnements, la constipation, et les diarrhées.
Les brûlures rétrosternales sont caractérisées par une sensation de brûlures ou de chaleur au niveau de l’œsophage. Elles surviennent peu après un repas, ou bien pendant la pratique de l’exercice physique. L’alimentation joue son rôle dans ces troubles : certains aliments ne doivent pas être consommés en excès, comme évoqué dans notre article (« Remontées acides, brûlures d’estomac, régurgitations… Quel est le rôle de l’alimentation ? ») à ce sujet.
Les ballonnements sont plus complexes à définir sur le plan clinique : les patients ont très souvent recours à ce terme pour désigner toutes sortes de troubles digestifs. Les scientifiques définissent le ballonnement comme un sentiment de trop-plein, avec la notion sous-jacente de gaz (ou flatulences). Dans ce contexte précis, certaines fibres n’ont pas toujours une bonne image. Certains aliments riches en fibres sont en effet associés à de tels troubles : c’est le cas de l’artichaut, des flageolets…. Cela ne signifie pas pour autant que toutes les fibres alimentaires sont à exclure : les fibres fermentescibles apportent leur lot de bienfaits, notamment pour accélérer un transit “paresseux”, et toutes les fibres végétales ne sont pas fermentescibles. Correctement choisies, certaines fibres peuvent donc être consommées sans générer de ballonnements, et exercer pleinement leurs bénéfices. L’origine exacte des ballonnements n’est pas encore bien comprise, car les sensations de ballonnements sont ressenties très différemment d’un individu à l’autre. Malgré cela, il est possible de réduire ces sensations : l’Organisation Mondiale de Gastroentérologie considère ainsi que les probiotiques en général sont une bonne option pour réduire ces sensations.
La constipation constitue un autre trouble digestif important, dont la fréquence augmente avec l’âge : il s’agit d’un trouble de la défécation, avec des crampes abdominales et une diminution du passage des selles. Dans ce cas de figure, les fibres alimentaires sont de véritables alliées, et leur consommation est recommandée par les sociétés savantes : l’Anses recommande ainsi un apport quotidien d’au moins 25 g de fibres. De la même manière, les aliments contenant des ferments, voire fermentés, sont également recommandés pour soulager les symptômes liés à la constipation.
Enfin, les diarrhées correspondent à des selles anormalement liquides. Chez l’adulte, les diarrhées peuvent résulter d’intoxications alimentaires ou bien de situations physiologiques particulières. Par exemple, la pratique du sport, en particulier de la course à pied, est parfois associée à des diarrhées en cas de pratiques intensives. Dans ces cas de figure, il est recommandé de privilégier des aliments faciles à digérer, et de s’hydrater correctement. Certaines souches de probiotiques, à travers les aliments fermentés, peuvent également jouer un rôle important dans la suppression des symptômes.
Le confort digestif étant synonyme de bien-être au quotidien, la composition des produits Kriss‑Laure a été élaborée de manière à être compatible avec ce confort. En lien avec les recommandations de l’Organisation Mondiale de Gastroentérologie, des probiotiques (Lactobacillus paracasei et Bifidobacterium lactis) ont été ajoutés dans les Entremets, les Potages, les Smart Repas ainsi que le Krissport. La consommation de ces produits au quotidien contribue ainsi à réduire les éventuelles sensations d’inconfort intestinal, à tout âge et chez tous les individus.
Bibliographie
HUNT, Richard, QUIGLEY, Eamonn, ABBAS, Zaigham, et al. Prise en charge des symptômes gastro-intestinaux courants dans la communauté. 2013.
FARTHING, M, SALAM, M, LINDBERG, G, et al. La diarrhée aigüe chez les adultes et les enfants : une approche globale. 2013.
Le e-sport requière des compétences particulières et notamment des capacités cognitives très développées. Les joueurs doivent pouvoir tenir un niveau élevé de concentration pendant plusieurs heures. Il y a donc plusieurs objectifs clés dans l’alimentation des gamers :
Le premier axe, très important, pour ces joueurs est l’équilibre alimentaire comme tout sportif. Avoir une alimentation équilibrée, riche en nutriments, sans excès ni restriction est bien-sûr la base d’une bonne santé et d’un état psychologique optimal. Le fait de ne pas consommer trop de sucre permet par exemple d’éviter les grosses variations de la glycémie et donc les « coups de mou » ou baisses de la concentration. L’alimentation doit donc être orientée vers un apport énergétique suffisant qui reste constant sur la durée avec par exemple des légumineuses, des céréales complètes, des oléagineux etc…
Des compléments alimentaires ou aliments enrichis sont de plus en plus mis sur le marché à destination de cette nouvelle pratique. Ces produits énergétiques ou énergisants sont le plus souvent à base de glucides, de caféine et de vitamines et minéraux. Du côté des produits énergétiques il faut faire attention aux produits riches en sucres qui peuvent donner l’impression d’un regain d’énergie mais qui sera de courte durée. Il faut donc privilégier les boissons ou compléments sans sucre pour éviter les pics de glycémie. Du côté des énergisants, la caféine, la taurine ou encore les vitamines et les minéraux sont souvent associés pour bénéficier des effets stimulants, de l’amélioration de la concentration et de la réduction de la fatigue. Attention aux produits illégaux qui peuvent circuler dans d’autres pays que ceux de l’Union Européenne.
Il peut être difficile de s’alimenter lorsque les entrainements ou tournois sont longs, parfois plusieurs heures de suite. L’hydratation doit rester un point d’attention important mais inutile de s’alimenter uniquement avec des boissons sucrées. Le format boisson peut être intéressant ponctuellement pour permettre d’apporter tous les nutriments nécessaires sans avoir à s’arrêter ou attendre la fin de la partie pour manger.
Le format pratique des produits Kriss‑Laure peut permettre de s’alimenter facilement et façon équilibrée durant les parties de jeu. Les Potages, les Entremets et les Smart Repas permettent de se nourrir rapidement et de varier les plaisirs avec les différentes saveurs. Les Barres Gourmandes Kriss‑Laure et les Tonics peuvent également être pratiques à consommer entre les repas ou pour attendre la fin de la partie. Enfin la boisson de l’effort Krissport a été formulée spécialement pour les sportifs donc elle s’adapte également à l’effort des e-sportifs en leur apportant de nombreuses vitamines et minéraux.
]]>La rétention d’eau (ou œdème) est une accumulation d’eau au sein des tissus de l’organisme entrainant un gonflement d’une ou plusieurs parties du corps. Son origine peut être multiple mais une alimentation trop salée peut en être l’une des causes principales. Quelle alimentation adopter en cas de rétention d’eau ?
Le sel de table, de son nom scientifique chlorure de sodium (NaCl), est constitué de 40 % de sodium (Na) et de 60 % de chlorure (Cl) : 1 g de sel correspond à 0,4 g de sodium.
Le sodium est un minéral particulièrement important au bon fonctionnement de l’organisme. Présent dans le sang et dans les liquides extra-cellulaires, il :
La consommation du sel en excès augmente sa concentration dans les tissus et induit une captation plus forte de l’eau dans ces derniers. Il ralentira l’élimination de l'eau ce qui favorise le phénomène de rétention d’eau. Il peut donc s’agir d’un signe avant-coureur d’autres conséquences plus graves liées à la consommation excessive de sel.
Aujourd’hui les français consomment près de 10 g de sel en moyenne par jour alors que L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) recommande de réduire l’apport en sodium chez l’adulte à moins de 2,4 g de sodium par jour soit 5 à 6 g de sel par jour maximum.
Si la rétention d’eau est bien d’origine alimentaire, il est nécessaire d’adapter son alimentation et de modifier ses habitudes afin de limiter tous les risques de complication à plus long terme.
Des astuces quotidiennes permettent de réduire sa consommation :
L’ensemble des produits Kriss‑Laure sont élaborés par des nutritionnistes et répondent aux besoins de l’organisme. Les produits sont élaborés avec un souci constant d’apporter la juste dose en sel en rapport avec toutes ces recommandations et de fait ils sont notamment enrichis en d’autres minéraux (issus du lait ou d’eau de mer) pour en limiter la teneur en sel. Vous pouvez consommer votre produit Kriss‑Laure dans le cadre d’une alimentation équilibrée : une portion de Potage Kriss‑Laure vous apporte en moyenne 1,6 g de sel.
- Le logo Triman : la signalétique informe le consommateur qu’un produit ou un emballage fait l’objet de règles de tri ou d’apport du déchet issu du produit, qu’il soit recyclable ou non. Il est complété par une information détaillant la règle de tri (ici l’Info-tri pour les emballages ménagers).
- La cartouche Info-tri :
Pour faciliter la compréhension et si l’industriel le souhaite, l’Info-tri prévoit l’utilisation d’un code couleur. Pour les emballages en verre, l’Info-tri est de couleur verte ou noire et pour les emballages hors verre, elle est de couleur jaune ou noire.
Exemples :
Tous les produits de la gamme Kriss‑Laure respectent la règlementation en vigueur. Ils intégreront progressivement cette dernière évolution pour une mise en conformité dans les délais prévus à cet effet
]]>La vue est un sens à ne pas négliger car il permet de nous faire notre première impression sur ce que nous allons manger. Rien qu’en regardant la nourriture on peut en apprendre beaucoup.
Dans un premier temps, en observant notre repas, nous sommes capables de dire si l’aliment nous donne envie ou non de par son aspect (lisse, rugueux, trouble, brillant…), sa forme, son état (liquide, gazeux, solide) et sa couleur.
Par ailleurs, le visuel a toute son importance car plus un repas est coloré plus cela signifie qu’il est riche en micronutriments et antioxydants et plus il donnera envie d’être dégusté (les antioxydants protègent l’organisme contre les effets des radicaux libres) :
Enfin, nous pouvons affirmer que la présentation d’un repas influencera positivement notre perception et donc notre appétit. Prenons l’exemple de l’application d’un chef restaurateur à confectionner avec minutie la présentation de ses assiettes pour booster le plaisir de sa consommation et donc le goût que le client y retrouvera ensuite. Nous salivons tous à la vue d’une assiette soigneusement présentée.
En regardant la taille de la portion préparée, le cerveau pourra donner l’impression à l’estomac que celle-ci soit plutôt frugale ou à l’inverse plutôt généreuse selon le dimensionnement du contenant.
Eh oui, « Nous mangeons d’abord avec nos yeux ».
Les récepteurs du toucher sont appelés des mécanorécepteurs, ils transforment les stimuli physiques en informations transmises au cerveau. Les mécanorécepteurs sont sensibles à la pression et au contact avec un aliment.
La main possède des récepteurs du toucher mais on en retrouve également au niveau de la bouche. Que ce soit le toucher en « main » ou en « bouche », il permet de déterminer la texture d’un aliment, la consistance ou encore la température :
Ce qui est certain, c’est que la texture et la consistance sont des critères essentiels dans l’appréciation d’un aliment. Par exemple, un aliment trop cuit, une viande « nerveuse », un fruit fibreux… peuvent impacter notre plaisir gustatif et donc notre appétit.
Mais c’est aussi une question de culture, en effet la texture visqueuse ou gluante, qui est peu répandue en occident, est très appréciée des asiatiques.
L’ouïe n’est pas pleinement impliquée dans le processus alimentaire, mais elle peut influencer les besoins et les envies. En effet, les bruits de cuisine lors de la préparation des repas peuvent aussi mettre « l’eau à la bouche » (crépitement d’un aliment dans la poêle, bruit de vaisselle…). D’autres bruits comme ceux liés à la préparation d’un repas, l’ouverture de contenant, des couverts dans l’assiette, les discussions pendant un repas… sont synonymes de chaleur et convivialité.
L’ouïe intervient également au moment où l’aliment entre en contact avec la bouche lors de la mastication (croquant, croustillant, pétillant…).
Nos sens nous permettent de percevoir et d’évoluer dans notre environnement mais ils participent aussi à l’éveil de notre appétit et au plaisir de manger et ce dès notre plus jeune âge. Être à l’écoute de ses sens permet d’appréhender ses goûts et ses envies et de développer cette soif de découvertes culinaires et expériences sensorielles (cuisiner de nouveaux aliments, tester de nouvelles recettes, découvrir de nouvelles textures…). Manger est certes vital, mais cela doit aussi être un moment de plaisir, de partage et convivialité.
Kriss‑Laure vous propose toute une gamme d’alternatives saines et des collations équilibrées aux qualités organoleptiques variées pour répondre à ces attentes de perceptions sensorielles. Par exemple, vous pouvez compter sur une très large gamme pour un panel de couleur et de texture avec des marquants sur certaines références.
]]>De nouveaux ingrédients fonctionnels sont inventés ou redécouverts chaque jour dans le monde. Concentration, circulation sanguine, mémoire, gain musculaire… tous les bienfaits santé sont la cible de ces nouveautés. Mais il existe une catégorie bien particulière : les nootropiques. Que sont ces substances alimentaires dont on parle tant aujourd’hui ?
Les nootropiques sont des substances qui sont connues du grand public pour améliorer les performances cognitives. L’étymologie est d’ailleurs grecque avec noos qui signifie « esprit » et tropos qui se traduit par « façonner ». Cela est possible en agissant à plusieurs niveaux :
Certains, à plus long terme, semblent également avoir des vertus de neuroprotection et de régénération cérébrale. Par exemple, l’Ashwagandha pourrait agir sur le déclin cognitif lié à l’âge. Un autre nootropique de plus en plus répandu est le Lion’s Mane, un champignon qui augmenterait la synthèse des facteurs de croissance nerveuse et donc soutiendrait la régénération cérébrale.
Il est important de noter que certains nootropiques ont des bienfaits approuvés par l’EFSA (European Food Safety Authority) et bénéficient donc d’allégations de santé, d’autres sont supports d’allégations en attente d’évaluation par l’EFSA et d’autres sont encore à l’étude et ne présentent aucune preuve scientifique à ce jour.
Au vu des multiples bienfaits, dont certains restent encore à valider auprès de l’EFSA, les nootropiques sont recherchés par divers publics avertis : étudiants, adultes actifs, seniors, gamers, etc…
Certains nootropiques sont naturellement présents dans l’alimentation, c’est le cas de certains minéraux et vitamines, de la caféine ou de certains composants du thé vert.
Quelques exemples de sources trouvées dans la nature :
- La vitamine C issue de l’acérola,
- La caféine issue du guarana ou du café vert,
- L’huperzine A retrouvée dans le lycopode,
- Les bacosides dans la bacopa,
- L’hericénone et l’érinacine du hydne hérisson (champignon),
- Etc…
La nature regorge donc d’ingrédients actifs qui soutiennent les capacités cognitives.
La vitamine C d’origine naturelle est un exemple de nutriment considérée comme un nootropique. Les Potages, les Entremets, les Tonics, la boisson de l’effort Krissport, la boisson IMMUNi-T, les Smart Repas et les Barres gourmandes Kriss-Laure sont enrichis en vitamine C. D’autres vitamines ou minéraux, présents en quantité suffisante, sont des nootropiques comme le magnésium qui contribue au fonctionnement normal du système nerveux et à des fonctions psychologiques normales.
De plus, le Smart Repas Douceur Moka, les Entremets Café et Cappuccino ainsi que le Tonic Café contiennent du café soluble et donc de la caféine qui est un nootropique stimulant la concentration. L’extrait de café vert présent dans la large majorité des produits de la gamme en contient également en petite quantité.
La femme enceinte a des besoins spécifiques qui évoluent tout au long de la grossesse puis à l’allaitement. Mais contrairement aux idées reçues, les besoins énergétiques n’augmentent que très peu les premiers mois :
- 1er trimestre : +70kcal soit l’équivalent d’un yaourt nature ou d’un œuf,
- 2e trimestre : +260kcal soit l’équivalent d’un quart de baguette avec une portion de fromage,
- 3e trimestre et allaitement : +500kcal soit l’équivalent d’un bol de muesli (80g) avec un fromage blanc.
L’Anses recommande également un apport en protéines de 12% minimum de l’apport énergétique total contre 10% pour les adultes hors grossesse. Les lipides doivent être choisis pour assurer un bon apport en acides gras indispensables (poissons gras, oléagineux, huiles végétales…).
De plus, certaines carences en micronutriments peuvent entrainer des malformations chez le fœtus. Une alimentation équilibrée est donc indispensable pour permettre à la future maman de couvrir tous les besoins liés à la grossesse. La nature est bien faite : l’absorption de certains nutriments comme le zinc ou le fer augmente avec la grossesse mais les besoins augmentent tout de même pour de nombreuses vitamines et minéraux : cuivre, fer, iode, sélénium, zinc, vitamines A, B2, B5, B6, B9, B12 et C. Une alimentation équilibrée apporte tous les éléments nécessaires et ne nécessite pas de complémentation médicale.
Des petits désagréments peuvent survenir au cours de la grossesse. La fatigue et la constipation sont fréquemment retrouvées auprès de ce public et l’alimentation peut limiter ces effets.
L’apport suffisant en vitamines et minéraux tels que les vitamines C, B5, B9 ou encore le fer permet de réduire la fatigue et de ressentir donc un niveau d’énergie plus élevé. Quant à la constipation, elle peut être limitée avec une bonne hydratation et un apport élevé en fibres grâce à la consommation de fruits, légumes, légumes secs et céréales complètes.
Que ce soit à cause des nausées ou pour atteindre les besoins journaliers tout au long d’une journée, le fractionnement des repas est une solution parfois proposée à de nombreuses femmes enceintes. Il consiste à répartir les apports journaliers sur 5 ou 6 repas plutôt que sur 3 ou 4. Cela permet de réduire la taille des portions et ainsi éviter les remontées, ou douleurs gastriques voire permettre d’augmenter les apports si l’appétit n’est pas assez important.
Il est alors possible de prévoir, en plus des 3 repas principaux, une collation matinale, un goûter et parfois même une collation nocturne avant de se coucher.
Les Entremets, les Potages, les Barres Gourmandes Kriss-Laure, les Tonics, la boisson de l’effort Krissport, la boisson IMMUNi-T et les Smart Repas peuvent être consommés durant la grossesse. La praticité d’utilisation de ces produits Kriss‑Laure en font un choix intéressant pour prévenir les fringales de grossesse et mettre en place le fractionnement des repas.
De plus les vitamines et minéraux apportés par les produits Kriss‑Laure permettent d’aider à couvrir les besoins spécifiques de la femme enceinte et du bébé. Les folates (vitamine B9) participent par exemple à la croissance des tissus maternels pendant la grossesse.
Source :
www.anses.fr/fr/system/files/NUT2017SA0141.pdf
Une articulation est un ensemble de composants complexes qui associés entre eux permettent la mobilité. Le cartilage est un des éléments qui protège l’os et qui permet un meilleur mouvement entre les deux parties mobiles. Le liquide articulaire permet quant à lui d’amortir et de limiter le frottement entre les cartilages. Les tendons, la capsule et les ligaments permettent le maintien de l’ensemble de l’articulation. Le schéma ci-dessous présente les différents éléments :
Figure 1. www.public.larhumatologie.fr
Au fil du temps, les constituants vont s’altérer et notamment le cartilage qui va s’affiner. Les articulations deviennent alors plus fragiles et des douleurs telles que l’arthrose peuvent apparaître. Pour prévenir le vieillissement prématuré des articulations, l’alimentation a un rôle important.
L’équilibre nutritionnel global est la base de la santé et du bon fonctionnement du corps humain. Il est donc important de suivre les recommandations des professionnels de santé et de veiller à disposer d’une alimentation variée et équilibrée.
Certains nutriments sont particulièrement intéressants pour prévenir le vieillissement des articulations et notamment du cartilage. Le principal est la vitamine C qui participe à la formation du collagène assurant ainsi la fonction du cartilage et des os.
Des nutriments ayant un effet anti-inflammatoire tels que les Oméga-3 permettent de soulager les inflammations au niveau des articulations.
Enfin de nombreuses plantes traditionnelles sont utilisées pour préserver la santé du cartilage et des articulations mais toutes n’ont pas encore été évaluées par les autorités compétentes. Parmi les plus connues : bambou, le curcuma, l’eucalyptus, un extrait de gingembre ou encore la sauge permettraient de soutenir la santé des articulations.
Les Potages, les Entremets, les Tonics, les Smart Repas, la boisson IMMUNi-T, les boissons de l’effort Krissport et les Barres Gourmandes Kriss‑Laure sont enrichis en vitamine C d’origine naturelle. Ils participent ainsi à la santé des articulations et plus particulièrement celle du cartilage. D’autant plus que la vitamine C contenue dans ces produits est extraite de l’acérola, source connue pour avoir une bonne assimilation et disponibilité.
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Le sommeil a un rôle très important et une altération de ce dernier peut avoir de lourdes conséquences sur notre état général. Outre le fait qu’un manque de sommeil affecte notre vigilance à l’état de veille, il peut également avoir un impact sur :
Bien qu’il faille respecter son rythme et ses besoins de sommeil, il n’est pas sans intérêt de prêter aussi attention à son alimentation et notamment le soir.
Ce que nous mangeons a un impact direct sur notre sommeil. Il faut veiller à avoir une alimentation saine et équilibrée tout au long de la journée.. Quant au dîner, il ne faut pas négliger la quantité et la qualité :
Les produits Kriss‑Laure, élaborés par des professionnels de la nutrition, sont équilibrés et complets afin d’apporter tous les éléments nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme. Leurs compositions complètes en nutriments, avec un apport adapté en protéines animales et végétales, permettent de contribuer à une alimentation variée et équilibrée.
Le processus d’inflammation est un des piliers du système immunitaire. Il s’agit d’une réponse locale, caractérisée par une hausse du débit sanguin, des cellules spécialisées sur les lieux des dégâts, ainsi que la production de molécules de signalisation (cytokines).
Le concept d’inflammation de « bas grade » (ou de bas bruit), quant à lui, a été mis en évidence dans les années 1990 chez des personnes obèses. Dans le cas de l’obésité, la présence de cellules immunitaires en grand nombre au sein du tissu adipeux est bien caractérisée, alors qu’en temps normal, de telles cellules n’ont pas à se retrouver à cet endroit de l’organisme. Cette présence crée un stress localement, et débouche sur la production par le tissu adipeux de molécules favorisant l’inflammation. De manière importante, ces molécules sont identiques à celles produites par l’organisme dans le cas d’une infection, pour réparer les cellules endommagées, à ceci près que les quantités sont bien inférieures. L’inflammation de bas grade se caractérise donc, chez les individus obèses, par une circulation permanente, dans le sang, de molécules favorisant l’inflammation.
L’inflammation de bas grade est donc en relation très étroite avec l’obésité, mais a malgré tout été élargie à la population générale. Ce concept est même devenu très populaire. Néanmoins, les scientifiques ont beaucoup de mal à définir à quoi correspond réellement l’inflammation de bas grade chez une personne en bonne santé. Malgré ces difficultés, les scientifiques s’accordent sur l’importance d’une inflammation de bas grade minimisée, en vue d’une bonne santé à long terme.
Puisque le mode de vie (alimentation, activité physique) influence directement l’inflammation chronique de bas grade, de nombreux travaux de recherche ont tenté d’isoler les ingrédients ou les actifs permettant effectivement de réduire cette inflammation. De tous les nutriments impliqués dans l’inflammation de bas grade, c’est sans aucun doute sur les acides gras que le niveau de preuve est le plus élevé, et plus particulièrement les acides gras poly-insaturés oméga-6 et oméga-3. Ces derniers peuvent en effet être convertis par l’organisme en molécules directement impliquées dans l’inflammation : pro-inflammatoires pour les dérivés d’oméga-6, et anti-inflammatoires pour les dérivés d’oméga-3. Les travaux de recherche concordent sur un ratio optimal oméga-6/oméga-3 inférieur à 5. À ce jour, seule la France a émis des recommandations nutritionnelles très précises sur ce point, reconnaissant qu’un ratio oméga-6/oméga-3 proche de 4 était optimal. L’alimentation des Français apporte souvent trop peu d’acides gras oméga-3 pour atteindre ce ratio, c’est pourquoi il est important de consommer au quotidien des aliments qui en sont riches.
Les Entremets, Potages et Smart Repas ont des quantités notables d’acides gras et ils ont été formulés pour respecter les recommandations de l’Anses. Plus précisément, le ratio oméga-6/oméga-3 de ces produits est proche de 1,7, donc en-dessous du seuil de 5 préconisé par les autorités sanitaires françaises. Les produits Kriss-Laure sont donc compatibles avec des niveaux d’inflammation de bas grade les plus bas possible, contribuant à la santé à long terme des consommateurs.
Bibliographie
CALDER, Philip C., AHLUWALIA, Namanjeet, BROUNS, Fred, et al. Dietary factors and low-grade inflammation in relation to overweight and obesity. British Journal of Nutrition, 2011, vol. 106, no S3, p. S1-S78.
Anses (2011), Actualisation des apports nutritionnels conseillés pour les acides gras.
Dans plusieurs cas de figure, la glycémie est très élevée en permanence : l’organisme n’est alors plus capable de faire revenir la glycémie dans la valeur cible de 1 g/L. Selon l’importance de l’écart, des solutions médicales doivent parfois être envisagées, on parle alors de « diabète ». Celui-ci est diagnostiqué lorsqu’une des deux situations se présente : soit une glycémie à jeun supérieure à 1,26 g/L, soit une glycémie supérieure à 2,00 g/L à n’importe quel moment de la journée. Cette incapacité peut s’expliquer par trois raisons, correspondant à trois types de diabètes : le diabète de type 1, le diabète de type 2, et le diabète gestationnel.
Le diabète de type 1 trouve son origine dans la destruction des cellules du pancréas produisant de l’insuline : l’individu n’étant plus capable de produire de l’insuline, son organisme n’est plus capable de faire entrer le glucose sanguin dans les cellules, conduisant à une glycémie élevée en permanence. Ce diabète est donc appelé « insulino-dépendant » : des piqûres régulières d’insuline permettent de faire diminuer la glycémie et donc de retrouver la valeur cible de 1 g/L. Le diabète de type 1 concerne environ 6% des diabétiques en France : il s’agit d’une maladie auto-immune, qui s’explique principalement par des facteurs génétiques.
Le diabète de type 2 affecte environ 92% des diabétiques de France. Dans ce cas, l’insuline est bien produite par le pancréas mais l’ordre n’est plus transmis aux cellules d’utiliser le glucose sanguin. On parle alors de « résistance à l’insuline », conduisant à une glycémie élevée en permanence. Le diabète de type 2 est en partie expliqué par des facteurs génétiques mais l’environnement (activité physique, alimentation) joue un rôle déterminant. Le diabète de type 2 est aujourd’hui considéré comme une maladie typiquement occidentale, du fait du rôle d’une alimentation à la fois déséquilibrée et surtout riche en sucres simples.
Le diabète gestationnel survient, par définition, au cours de la grossesse : d’un point de vue physiologique, la grossesse conduit en effet à un état de diabète. Par conséquent, dans la majorité des cas, ce diabète passe inaperçu et disparaît après la grossesse ; mais il peut également favoriser l’installation d’un diabète de type 2 sur le long terme. La gravité du diabète gestationnel dépend notamment de l’âge, de l’indice de masse corporelle (IMC), et évidemment de la présence d’un diabète (type 1 ou 2) antérieur à la grossesse. Ainsi, selon la présence de ces facteurs de risques, une vigilance particulière est recommandée : le diabète gestationnel présente en effet des risques, à la fois pour la mère (risque d’accouchement difficile, avec un poids plus élevé du fœtus) et pour l’enfant (risques futurs de maladies chroniques). Dans les trois types de diabètes, l’alimentation est à surveiller et notamment les apports directs en glucose : l’objectif est en effet de ne pas trop faire augmenter la glycémie. L’autre objectif, pour le diabète de type 2, est de ne pas trop solliciter le pancréas qui sécrète une insuline déjà moins efficace. Dans le même temps, le plaisir associé au goût sucré doit pouvoir demeurer. Certains ingrédients permettent de résoudre cette équation : le fructose, mais aussi les édulcorants intenses.
Rappelons cependant qu’un focus sur les sucres n’est pas suffisant : c’est le mode de vie tout entier qui est à adapter en cas de diabète. Une alimentation saine, riche en fibres et pauvre en acides gras saturés, est à adopter, tout comme la pratique régulière d’une activité physique.
La composition des produits Kriss‑Laure, tant sur les sucres simples que sur le goût sucré, est compatible avec l’alimentation des personnes atteintes de diabète. Les Repas Idée Délice, les Entremets, les Potages, et les Barres Gourmandes Kriss‑Laure contiennent toutes du fructose, source d’énergie immédiate qui ne perturbe pas la glycémie. Enfin, conformément aux recommandations des sociétés savantes, les produits Kriss‑Laure sont enrichis en fibres et pauvres en acides gras saturés, et contribuent à une alimentation saine pour les personnes diabétiques.
Bibliographie
Position des experts ADA-EASD sur la prise en charge de l'hyperglycémie chez les patients diabétiques de type 2 : une stratégie centrée sur le patient. www.sfdiabete.org/sites/www.sfdiabete.org/files/files/ressources/MMM_recos_ADA-EASD.pdf
Fédération Française des Diabétiques, www.federationdesdiabetiques.org/
Les valeurs nutritionnelles de référence, dites VNR en français ou DRV en anglais pour Dietary Reference Values, désignent l’ensemble des références nutritionnelles pour la population. Ce sont un ensemble de valeurs scientifiquement fondées qui indiquent les quantités de nutriments qui doivent être consommées de façon régulière pour le maintien d’une bonne santé chez des populations saines. Elles varient en fonction de nombreux paramètres, notamment l’âge, le sexe, le patrimoine génétique ou le niveau d’activité physique, ainsi, les VNR ne doivent pas être comprises comme des recommandations nutritionnelles individuelles, mais plutôt comme des objectifs nutritionnels pour la population générale, à adapter en fonction des spécificités individuelles : sportif, femme enceinte…
Au niveau européen, les VNR sont établies par l’Efsa (l’autorité européenne de sécurité des aliments) et basées sur différents repères nutritionnels tels que le BNM, les RNP, les AS et autres (dont vous trouverez les définitions dans le paragraphe suivant). En France, c’est l’Anses (l’Agence nationale de sécurité sanitaire alimentation, environnement, travail) qui se charge d’adapter les VNR européens aux spécificités de la population française.
Les VNR vont ensuite être utilisées pour définir les repères de consommation alimentaire tels que « 5 fruits et légumes par jour », « 2 produits laitiers par jour » ou « réduire sa consommation de sel ».
Les VNR sont le cadre général derrière lequel se cachent de nombreux termes nutritionnels parmi lesquels il peut être difficile de s’y retrouver. Les plus courants que vous pourrez retrouver sont :
L’étiquetage nutritionnel des produits alimentaires est harmonisé au niveau européen. La Commission Européenne a donc dû choisir des VNR qui s’appliquent à la population générale adulte en bonne santé. Elle a ainsi sélectionné des valeurs dites « apports (quotidiens) de référence » (AR ou AQR) pour les macronutriments et des VNR pour les vitamines et minéraux qui sont basées sur les recommandations de l’Efsa. Ce sont les valeurs que vous retrouverez sur de nombreux étiquetages, exprimées en pourcentage des AR ou pourcentage des VNR.
Kriss‑Laure indique sur tous ses produits le pourcentage des VNR en vitamines et minéraux pour 100g et par portion, ce qui donne une information intéressante de la contribution du produit aux besoins journaliers en micronutriments pour un individu adulte en bonne santé.
Le petit-déjeuner permet de casser le long jeûne de la nuit permettant ainsi de :
Le petit-déjeuner est un repas à part entière. Il doit représenter entre 20 et 25 % de l’apport calorique de la journée et ainsi permettre de couvrir une partie des besoins en macronutriments (protéines, lipides, glucides, fibres + eau) et en micronutriments (vitamines, minéraux et oligo-élements).
La qualité du petit-déjeuner et donc le choix des aliments sélectionnés est primordial.
Il est important de consommer des aliments riches en protéines au petit-déjeuner (produits laitiers, œufs, jambon) car elles agissent sur l’effet de satiété et permettent ainsi de limiter les risques de « petit creux » dans la matinée. De plus, les protéines sont indispensables à l’organisme car elles entrent dans la composition des cellules et des muscles (maintien de la masse musculaire).
La qualité des glucides consommés au cours de ce premier repas est aussi très importante. En effet, il vaut mieux privilégier les aliments contenant des glucides complexes. Ces glucides vont diffuser de manière lente l’énergie nécessaire à l’organisme pour fonctionner tout au long de la matinée et agir sur l’effet de satiété, limitant ainsi les coups de fatigue et les « petites faims » du milieu de matinée. Les glucides complexes sont apportés par les produits céréaliers (pains, céréales…).
Concernant l’apport lipidique, il faut privilégier les aliments vecteurs de « bonnes matières grasses », c’est-à-dire ceux qui apportent des acides gras insaturés comme les graines oléagineuses qui participent à la couverture des besoins en oméga 3 (amandes, noix, noisettes…). Cela ne signifie pas que les aliments contenant des acides gras saturés comme le beurre sont interdits, mais il faut en limiter la consommation quotidienne (15 – 20 g de beurre maximum par jour). Il faut également veiller à ce que le petit-déjeuner soit riche en fibres car elles régulent l’appétit et assurent le bien-être intestinal.
Un petit-déjeuner complet et équilibré garantit un apport suffisant en vitamines et minéraux (vitamine C, vitamine E, calcium, magnésium…) dont l’organisme a besoin pour démarrer la journée.
Selon le PNNS2, pour être complet, le petit-déjeuner doit se composer comme suit :
Il n’y a pas de petit-déjeuner parfait. Le plus important est d’être conscient qu’il participe au bien-être de l’organisme et qu’il en est le booster. Offrant de nombreuses possibilités, n’hésitez pas à décliner vos petits-déjeuners en variant les fruits, les types de pain et baguette, en ajoutant des graines oléagineuses (noix, noisettes, amandes…). Il est également possible d’opter pour un petit-déjeuner « à l’anglo-saxonne », à dominante salée, avec des œufs, une charcuterie peu grasse, du porridge…
Pour obtenir des conseils sur votre alimentation, il peut aussi être utile de se rapprocher d’un professionnel de la nutrition : diététicien-nutritionniste ou médecin-nutritionniste.
Les produits Kriss‑Laure, élaborés par des professionnels de la nutrition, sont équilibrés et complets afin d’apporter tous les éléments nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme. Ils peuvent participer à un petit-déjeuner équilibré, notamment pour ceux qui n’ont pas le temps ou l’envie de prendre un petit-déjeuner complet. Les Entremets et les Potages apportent notamment les protéines et les glucides complexes (énergie à diffusion lente après le repas) et simples (énergie à diffusion rapide après le repas) nécessaires le matin. De plus, toutes les gammes sont enrichies en vitamines et minéraux qui permettent de bien commencer la journée.
1CREDOC : Centre de Recherche pour l’Etude et l’Observation des Conditions de vie
2PNNS : Programme National Nutrition Santé
Le régime nordique, aussi appelé régime Viking ou régime Scandinave, est nommé ainsi de par son origine issue des contrées nordiques de l’Europe : Danemark, Suède, Norvège, Finlande et Islande.
Attention à ne pas confondre avec le régime dissocié scandinave utilisé par les sportifs d’endurance pour faire le stock de glycogène avant une compétition.
Là-bas, poissons gras, céréales complètes et baies sont rois et l’alimentation contient peu de produits transformés, peu de sucres ajoutés et peu de viande rouge.
Le régime nordique est caractérisé par une grande consommation de fruits et légumes, de céréales complètes, de pommes de terre, de champignons, d’oléagineux, de poissons et de crustacés. Les produits laitiers ou encore la volaille et le gibier sont issus d’élevage plein air. L’huile de colza est la principale matière grasse utilisée.
La localité des produits est un facteur important avec notamment des baies, des légumes racines et des légumineuses particulièrement cultivées dans ces régions (2).
De nombreuses études observationnelles ont été menées autour du régime nordique, et ainsi de nombreuses vertus lui ont été associées.
En effet, les aliments qui composent cette alimentation permettent d’apporter des nutriments intéressants pour la santé :
Des études ont ainsi montré une plus faible incidence des maladies cardiovasculaires, de l’obésité abdominale, des marqueurs d’inflammation, ainsi qu’une amélioration de la composition corporelle (moins de masse grasse) et enfin une baisse globale de la mortalité (1, 3, 4).
Le régime nordique a aussi révélé des avantages environnementaux. Cela semble dû à la réduction de la consommation de viandes par rapport à un régime omnivore classique ainsi qu’au sourcing local des aliments (5).
Tout d’abord la présence de métaux lourds dans les poissons, notamment ceux dits “ grands prédateurs “ et bio accumulateurs (lotte, loup, dorade, brochet etc…), ne permet pas de consommer des poissons à volonté, notamment pour les populations à risque.
Les jeunes enfants, les femmes enceintes, les seniors et les personnes à risques (immunodéprimées notamment) doivent restreindre leur consommation de ce type de poisson. Pour la population générale, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) n’a pas évalué de risque puisque la consommation actuelle des populations reste inférieure à la dose journalière tolérable.
La consommation de ces poissons ne doit pas être excessive et doit s’inscrire dans une démarche de diversité alimentaire globale (6).
Sur le plan écologique, le régime nordique se base sur des produits très présents dans les pays nordiques et qui ne sont pas toujours présents ou de saison en France. Il convient donc de mesurer sa consommation de produits importés et hors saison pour des raisons évidentes de préservation de l’environnement et de limitation de l’empreinte carbone.
Tous les aliments contiennent de nombreuses molécules responsables de leur goût. Lorsqu’un aliment est mis à la bouche, il va diffuser ses molécules dites sapides qui vont être détectées à la fois au niveau de la bouche et au niveau du nez. Mais de quelle manière ?
Dans la bouche ce sont les papilles gustatives qui entrent en jeu. Par l’action de la salive, les substances chimiques présentes dans les aliments sont diluées permettant ainsi leur détection par les papilles gustatives. Celles-ci renferment ce qu’on appelle des bourgeons gustatifs (récepteurs sensoriels) capables de percevoir le goût d’un aliment. A ce moment-là, des neurotransmetteurs sont libérés pour envoyer l’information au cerveau. Dans la bouche un autre système s’active : le système trigéminal. Il est stimulé par le nerf trijumeau qui capte les différentes sensibilités tactiles, douloureuses, thermiques et de pressions.
Au niveau du nez, ce sont les cellules olfactives qui entrent en jeu en captant les molécules aromatiques volatiles. Après mastication et broyage de l’aliment, des molécules odorantes remontent vers le nez par l’arrière de la bouche. On appelle cela la rétro-olfaction. Ainsi, les récepteurs olfactifs envoient un message nerveux au cerveau afin d’identifier l’aliment en bouche.
Les papilles gustatives, le système trigéminal et les cellules olfactives sont complémentaires. En effet, lors d’une maladie hivernale, comme un rhume, les saveurs d’un aliment sont beaucoup plus difficiles à percevoir. De même, l’absence de salive (à la suite d’une maladie ou d’une prise de médicament) peut entraîner une diminution du goût car les papilles ne réagissent qu’aux substances diluées. D’ailleurs pour être plus précis, on ne parle pas uniquement du goût d’un aliment mais plutôt de sa flaveur. La flaveur correspond à la combinaison des sensations gustatives (saveur), aromatiques (odeur) et trigéminales.
Les papilles gustatives permettent de distinguer les quatre saveurs fondamentales que sont le sucré, le salé, l’amer et l’acide. Il existe une cinquième saveur fondamentale, mais plus familière aux asiatiques qu’aux occidentaux : l’umami.
Quant au système trigéminal, il permet quant à lui de détecter ce qui pique, pétille, brûle ou encore ce qui apporte une sensation de fraîcheur… On parle aussi de sensations tactiles ressenties lors de la dégustation.
Le phénomène de la rétro-olfaction (nez) permet de percevoir l’odeur et l’arôme d’un aliment. C’est grâce à lui que nous sommes capables de reconnaître l’aliment que nous mangeons.
De nombreuses études ont testé le comportement des bébés (tous pays confondus) après administration d’un liquide sucré, salé, amer et acide, et les résultats sont identiques :
En revanche le domaine olfactif n’est pas inné et nécessite de l’apprentissage. Même si l’apprentissage du goût commence in utero via le liquide amniotique, les choses sérieuses commencent dès le 4ème mois de l’enfant quand débute la diversification alimentaire. C’est à ce moment-là que la gymnastique du cerveau se met en place grâce aux récepteurs olfactifs qui lui transmettent les informations. A chaque nouvel aliment, le cerveau enregistre et garde en mémoire l’odeur et l’arôme, permettant ainsi de différencier une orange d’une pomme. On parle ici de mémoire olfactive.
]]>Avec l’âge l’organisme se fragilise et des pathologies risquent d’apparaitre. La cataracte en est la plus fréquente mais d’autres complications comme la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge) ou le glaucome peuvent survenir. Des pathologies qui ne sont pas sans conséquences puisqu’elles peuvent entrainer une perte d’autonomie, un isolement social, des risques de chute, de l’anxiété… « Il vaut mieux prévenir que guérir », une expression qui prend alors tout son sens. En effet, en adoptant une alimentation adaptée on peut commencer très tôt à prendre soin de ses yeux. Mais de quels nutriments les yeux ont-ils besoin ?
De nombreuses études indiquent qu’une alimentation variée et équilibrée favorise la santé des yeux et ralentit la progression de potentielles complications. Pour ce faire, il faut adopter une alimentation riche en antioxydants et en oméga 3.
Faire le plein d’antioxydants :
Lutéine et zéaxanthine : selon plusieurs études, ces caroténoïdes préviendraient et ralentiraient la progression de certaines maladies oculaires notamment la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) et les cataractes. Grâce à leur action antioxydante, ils neutralisent les radicaux libres qui peuvent endommager la rétine et filtrent la lumière bleue et les UV.
Les sources alimentaires sont les légumes verts foncés, le maïs, les courges.
Faire le plein d’oméga 3 (EPA1 et DHA2) : les bienfaits des oméga 3 sur l’organisme sont bien connus (système nerveux, système cardiovasculaire…) mais on les connaît moins pour leurs rôles sur la santé oculaire.
Selon des études, les oméga 3 réduiraient les risques de développer une DMLA. Le DHA joue un rôle essentiel dans la fonction rétinienne, on le retrouve en forte concentration dans la rétine, il favorise le maintien des membranes lipidiques (perméabilité, fluidité, épaisseur).
Les produits Kriss‑Laure, élaborés par des professionnels de la nutrition, sont équilibrés et complets afin d’apporter tous les éléments nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme. De plus, tous les produits sont enrichis en vitamines et minéraux sous forme d’extrait de levure d’origine naturelle, et la majorité en lutéine. Les études scientifiques montrent que l’ensemble des vitamines et minéraux liés à des levures sont absorbés plus lentement et présentent ainsi une meilleure biodisponibilité que les autres formes de ces substances.
1Acide eicosapentaénoïque
2Acide docosahexaénoïque
Le zinc est impliqué dans de nombreuses fonctions cellulaires. Et pour cause il intervient dans l’activité de près de 300 enzymes et celle de plus de 2500 facteurs de transcription. Un facteur de transcription est une protéine qui régule l'expression des gènes, c’est-à-dire qu’il choisit quel gène va être exprimé.
La composition du bol alimentaire peut jouer sur la biodisponibilité du zinc. En effet, elle va être généralement plus élevée lorsqu’il est consommé au cours de repas riches en produits d’origine animale. A contrario, des repas riches en produits d’origine végétale peuvent limiter son absorption. Par exemple, les phytates, des substances présentes dans les céréales et les légumineuses, réduisent son absorption. De plus, le zinc est en compétition avec le calcium et le fer.
C’est à l’adolescence que les besoins en zinc sont les plus importants. Selon l’Anses, les RNP1 à l’adolescence sont :
Pour les adultes les recommandations varient en fonction des apports quotidiens en phytates :
Ces recommandations sont majorées pour les femmes enceintes et allaitantes, les personnes âgées (diminution de l’absorption intestinale), les personnes végétariennes et celles souffrant de dépendance à l’alcool.
En France, les adultes tirent le zinc principalement des viandes et des produits laitiers (lait, fromages, yaourts), d’après les données de consommation les plus récentes (étude INCA 32 ). D’après les données de la base de données Ciqual3 , les produits alimentaires qui contiennent le plus de zinc sont les fruits de mer (huîtres 45 mg/100 g), les céréales (germe de blé 14 mg/100g), la viande (bœuf 11 mg/100 g), les abats (foie de porc 6,72 mg/100 g) et les légumineuses (luzerne 6,9 mg/100 g).
La carence en zinc entraîne un ralentissement de la croissance chez l’enfant et une diminution des fonctions du système immunitaire, tandis qu’un excès de zinc peut réduire l’absorption d’autres minéraux tels que le cuivre et le fer et ainsi causer une anémie et affaiblir le système immunitaire. Une alimentation équilibrée apporte à l’organisme la quantité nécessaire à son bon fonctionnement.
Votre gamme d’Entremets et de Potages Kriss‑Laure contient du zinc naturellement associé aux protéines de lait* ajoutées dans les produits. Votre « booster d’immunité », IMMUNi-T KRISSlife, est quant à lui une source concentrée de zinc puisqu’une portion permet de couvrir 30 % des besoins quotidiens en zinc : le zinc contribue au fonctionnement normal du système immunitaire.
Les gammes Tonic, Krissport, Mon Smart Repas, Idée Délice et Barres Gourmandes, elles aussi, sont enrichies en zinc. Les minéraux sélectionnés par Kriss‑Laure pour enrichir ses produits sont sous forme d’extrait de levure enrichi d’origine naturelle, en quantités équilibrées pour vous permettre de bénéficier de tous leurs avantages santé. Les études montrent que l’ensemble des vitamines et minéraux liés à des levures sont absorbés plus lentement et présentent ainsi une meilleure biodisponibilité que les autres formes de ces substances.
* Les produits Kriss-Laure sont sans lactose
1 Références Nutritionnelles pour la Population : valeur de référence qui correspond à ce qui permet de couvrir les besoins de la quasi-totalité de la population
2 www.anses.fr/fr/content/inca-3-evolution-des-habitudes-et-modes-de-consommation-de-nouveaux-enjeux-en-mati%C3%A8re-de
3 ciqual.anses.fr/
Les facteurs pouvant impacter le système immunitaire sont nombreux : l’alimentation, le tabagisme, le sommeil, l’activité physique, le stress…
Comment fonctionne le système immunitaire ? Comment l’alimentation peut-elle l’influencer ?
Le système immunitaire permet à l’organisme de lutter contre des attaques extérieures de toute nature : des infections courantes (rhume, grippe…), celles moins courantes (altération des fonctions des cellules) en passant par les corps étrangers (une écharde par exemple). Les virus et bactéries sont naturellement présents dans l’air, l’eau et la peau, sans système immunitaire nous ne serions plus protégés contre cet environnement hostile.
Lorsqu’un microbe entre en contact avec l’organisme, il va tout de suite être détecté et capté par les globules blancs. Ces derniers vont alors se mettre à sécréter des substances capables d’éliminer le microbe (les cytokines). En parallèle les lymphocytes B et T s’activent. Les lymphocytes B produisent les anticorps et les lymphocytes T détruisent les cellules contaminées.
Plusieurs types de mécanismes vont en réalité intervenir dans la réponse immunitaire :
Le système immunitaire se forme dès la période fœtale via le placenta et se renforce tout au long de l’évolution de l’enfant. Cependant, avec l’âge la réaction immunitaire s’affaiblit et nous rend plus sensible aux agressions extérieures. C’est pourquoi une bonne hygiène de vie et de bons choix alimentaires participent au soutien du système immunitaire.
L’alimentation regorge de « pépites » que sont les vitamines, les minéraux ou encore les substances organiques… Il n’y a pas de secret, une alimentation variée et équilibrée garantit un apport suffisant de ces éléments.
L’ensemble des produits Kriss‑Laure sont enrichis en vitamines et en minéraux d’origine naturelle (zinc, cuivre, sélénium, vitamine C sous forme d’extrait d’acérola, vitamine D, vitamine E, vitamines du groupe B).
De plus, Kriss‑Laure propose dans le cadre de sa nouvelle gamme KRISSlife sa boisson IMMUNi-T qui est un « booster » d’immunité.
Elle est composée d’un complexe d’actifs d’origine naturelle (extrait de sureau et poudre de miel), de vitamines et de minéraux, de bêta-glucanes et de ferments lactiques. Les vitamines et minéraux ont été soigneusement sélectionnés pour accompagner la réponse immunitaire de l’organisme et booster la vitalité pour mieux faire face aux agressions extérieures.
]]>Les glucides sont des macronutriments qui constituent l’un des piliers de notre alimentation car ils permettent l’apport d’énergie à notre organisme. 1 gramme de glucides permet de fournir 4 kcal.
Les glucides ou « hydrates de carbone » (« carbohydrates » en anglais) sont des molécules organiques et qui se composent donc d’hydrogène, d’oxygène et de carbone. Ils sont constitués d’un ensemble de molécules élémentaires appelées « oses ». Selon le nombre d’oses constituant cette chaîne, il est possible de distinguer :
- Les glucides simples ou « sucres » : les monosaccharides se composent d’un ose comme le glucose, le fructose ou le galactose et les disaccharides contiennent deux oses tels que le lactose (glucose et galactose), le saccharose (glucose et fructose) et le maltose (deux glucoses).
- Les glucides complexes : les polysaccharides digestibles correspondent aux amidons et les polysaccharides non digestibles sont les fibres alimentaires. Les fibres alimentaires peuvent être solubles (pectines, gommes, mucilages) ou insolubles (celluloses, hémicelluloses et lignines).
Les glucides complexes
Les glucides complexes se trouvent dans les féculents (céréales, légumineuses, pommes de terre, …). En plus de représenter une bonne source d’énergie, ils régulent la glycémie et évitent les coups de fatigue. Les féculents complets sont à privilégier car ils sont riches en fibres. Les fibres alimentaires sont également présentes dans les fruits et les légumes. Les fibres solubles permettent, en formant un gel visqueux dans l’organisme, de limiter l’absorption des autres glucides et lipides et ainsi de réguler la glycémie et la cholestérolémie. Ce type de fibres joue également un rôle sur la sensation de satiété. Les fibres insolubles favorisent la digestion.
Les glucides simples ou “sucres”
Les glucides simples constituent une forme d’énergie rapidement assimilable par l’organisme. C’est la forme de glucides privilégiée pendant une compétition sportive.
Le fructose et les autres oses contenus dans les fruits et les légumes sont du « sucre naturel » tout comme le lactose et le galactose naturellement présents dans les produits laitiers non sucrés. Il ne faut pas les confondre avec les produits sucrés tels que les confitures, le sucre de table (saccharose) ou encore le miel qui ne sont pas indispensables à notre alimentation. Il faut également être attentif aux sucres « cachés » dans de nombreux produits alimentaires transformés qu’ils soient sucrés (biscuits, viennoiseries, glaces…) ou non (plats préparés, sauces…).
Les apports nutritionnels conseillés en glucides totaux sont de 50 à 55% de l’apport énergétique total soit 250 à 370 g /jour. La consommation de sucres doit quant à elle être limitée. En effet, l’excès de sucres peut favoriser le surpoids, l’obésité et les maladies associées tel que le diabète de type 2. Ainsi, l’ANSES recommande aux adultes de ne pas consommer plus de 100 g de sucres totaux par jour (hors lactose et galactose). Il est conseillé d’augmenter sa consommation en fibres et d’équilibrer la part des fibres solubles et insolubles. Les apports nutritionnels conseillés sont de 25 à 30 g par jour.
Les glucides sont déterminants de l’index glycémique (IG) d’un aliment. En effet, l’index glycémique correspond à l’intensité avec laquelle un aliment fait monter le taux de glucose dans le sang (glycémie) dans les heures qui suivent son ingestion et ce comparativement à du glucose ou du pain blanc (IG = 100). Il variera en fonction de la composition en glucides simples, en amidon, en fibres et en lipides mais aussi des traitements qu’aura subis l’aliment. Par exemple, les légumes ont en général un faible IG (< 55) de même que les pâtes complètes cuites al dente ou encore les légumineuses. A l’inverse, le riz blanc, les pommes de terre cuites ou encore les dattes auront un IG très élevé (>70). La consommation d’aliments à index glycémique bas ne déclenche pas de pic de la glycémie ce qui n’entraînera pas le stockage des sucres pour le compenser.
Les produits de la gamme Kriss‑Laure vous apportent les proportions adaptées de glucides en fonction de vos besoins : fibres, glucides complexes, glucides simples. Par exemple, votre produit Krissport développé pour un besoin dédié à une consommation durant l’effort contient plusieurs types de glucides et de sucres pour répondre aux besoins spécifiques de l’organisme durant l’effort : maltodextrines, saccharose, dextrose, fructose. Il n’apporte pas de fibres pour une meilleure tolérance lors d’un exercice physique.
Sources : www.anses.fr/fr/content/sucres-dans-l%E2%80%99alimentation ; www.lanutrition.fr/bien-dans-son-assiette/les-nutriments/glucides/les-glucides
]]>En effet, les huiles n’ont pas toutes la même composition en acides gras et ni les mêmes bienfaits. Il est également recommandé d’inclure de petites quantités de matières grasses animales telles que le beurre et la crème afin de varier les natures d’acides gras.
D’après le rapport de l’étude sur les consommations et les habitudes alimentaires de la population française INCA 3, les matières grasses végétales contribuent de manière significative, chez les adultes, aux apports en :
Les huiles végétales sont connues pour leurs bienfaits santé et notamment la diminution du risque de maladies cardiovasculaires par leur richesse en acides gras insaturés. Nous nous intéressons aujourd’hui à trois de ces huiles : l’huile d’olive, l’huile de colza et l’huile de pépins de raisin.
L’huile d’olive a un goût plus prononcé que l’huile de colza ou l’huile de pépins de raisin aux saveurs plus neutres, idéales pour la cuisson ou l’assaisonnement d’une préparation sans modification du goût.
Si toutes les huiles ont la même valeur énergétique, puisqu’elles sont composées de 100 % de matière grasse (le beurre, à titre de comparaison, contient environ 80 % de matières grasses), elles se distinguent par le détail des acides gras et certaines vitamines liposolubles.
Le profil en acides gras de ces trois huiles est ainsi très différent : l’huile de pépins de raisin contient en majorité des acides gras poly-insaturés alors que l’huile d‘olive en contient en minorité. Le profil de l‘huile de colza est intermédiaire entre les deux autres huiles. En proportion, les acides gras omégas 3 sont d'avantages présents dans l’huile de colza que les deux autres huiles. L’huile d’olive présente une teneur élevée en acides gras oméga 9 (acide gras mono-insaturé). Enfin, l’huile de pépins de raisin présente une bonne teneur en acides gras oméga 6 (acide gras polyinsaturé).
La quantité de vitamine E contenue dans ces trois huiles varie entre 15 et 28 µg/100g. L’huile d’olive contient également du bêta-carotène, précurseur de la vitamine A (210 µg/100g). Enfin l’huile de pépins de raisin présente une bonne teneur en vitamine K1 (189 µg/100g) qui favorise la coagulation.
Au vu de leurs profils complémentaires, l’association de ces huiles est donc très intéressante d’un point de vue nutritionnel.
Les produits de la gamme Kriss‑Laure contiennent un mélange d’huiles de colza & olive (Smart Repas) ou colza & pépins de raisin (Idée Délice, Entremets, Potages, Tonic) pour contribuer à vous apporter les proportions idéales d’acides gras aux justes quantités.
Sources : Anses.fr ; ciqual.anses.fr ; fr.wikipedia.org/wiki/Pointdefum%C3%A9e ; www.biocoop-saint-marcellin.fr/docs/news/942huiles.pdf
Aujourd'hui, les carences en fer liées à une mauvaise alimentation sont les plus répandues en France et en Europe. C’est pourquoi la connaissance des sources alimentaires en fer et une alimentation équilibrée et variée contribuent à en couvrir les besoins.
Une fois absorbé par l'organisme au niveau de l’intestin, le fer a trois voies d'utilisation. La majorité (65-70 %) rentre dans la composition de l'hémoglobine, une protéine présente dans les globules rouges qui fixe l'oxygène et le transporte dans le sang. Une autre partie entre dans la fabrication de la myoglobine (environ 5 %), une protéine présente dans les muscles qui fixe l'oxygène et leur garantit ainsi une réserve d'oxygène.
Enfin, le reste compose certaines enzymes impliquées dans la respiration et la synthèse de l'ADN et constitue les réserves de fer de l’organisme.
Le fer existe sous deux formes :
• Le fer héminique (d'origine animale) est assez bien assimilé par l'organisme, à hauteur de 20-25 % des apports alimentaires. On le retrouve principalement dans les abats, les viandes, les poissons et les produits de la mer.
• Le fer non héminique (d'origine surtout végétale) est beaucoup moins bien absorbé par l'organisme. Sa biodisponibilité est de 5 à 10 %. On le retrouve dans les légumineuses, les fruits et légumes, les produits oléagineux, les œufs...
Pour une meilleure assimilation du fer, il est conseillé de consommer au cours du même repas des aliments riches en vitamine C (fruits et légumes) car elle facilite l'absorption du fer.
A l’inverse, les tannins présents dans le thé et le café, eux, réduisent son absorption.
Les besoins en fer varient en fonction du sexe, de l'âge et du statut physiologique. Par exemple, les femmes ont un besoin plus important que les hommes pour combler les pertes liées aux menstruations. La grossesse est également une période où les besoins sont considérablement augmentés : au cours du 2ème et 3ème trimestre en particulier. En effet, le fer permet de répondre à l’augmentation du volume sanguin de la mère, il entre également dans la constitution des tissus du fœtus et du placenta et permet de constituer une réserve de fer suffisante pour compenser les pertes sanguines lors de l’accouchement. Pendant la période de l’allaitement, il est aussi conseillé d’augmenter ses apports en fer pour conserver un bon statut martial de la mère et assurer un apport suffisant à l’enfant via le lait maternel.
Les personnes végétariennes et végétaliennes doivent également surveiller particulièrement leurs apports en fer. Cela ne signifie pas que ces régimes alimentaires entraînent automatiquement des carences, mais comme le fer le mieux assimilé est d’origine animale, il y a plus de risque d’être carencé si on ne suit pas de près son alimentation.
Les RNP (Références Nutritionnelles de la Population) pour l’adulte en fer sont estimées à 11 mg/j et jusqu’à 16 mg/j pour les femmes ayant des pertes menstruelles élevées.
Les carences en fer sont un des problèmes nutritionnels les plus répandus dans le monde. On parle alors d’anémie ferriprive ou d’anémie par carence martiale.
Dans certains pays cette anémie est plutôt liée à des maladies responsables de pertes de sang tandis qu’en Europe elle est liée à une alimentation non équilibrée.
L’anémie se traduit par de nombreux symptômes : pâleur, faiblesse musculaire, fatigue, essoufflement à l’effort, perte de cheveux… pouvant même entraîner étourdissement et perte de connaissance dans certains cas.
Tous les produits Kriss‑Laure sont enrichis en fer. Le fer sélectionné par Kriss‑Laure pour enrichir ses produits est sous forme d’extrait de levure enrichi d’origine naturelle. Des études scientifiques montrent que l’ensemble des vitamines et minéraux liés à des levures sont absorbés plus lentement et présentent ainsi une meilleure biodisponibilité que les autres formes de ces substances.
De plus, tous les produits Kriss-Laure contiennent du jus concentré d’acérola déshydraté enrichi en vitamine C. Ainsi le fer couplé à la vitamine C est mieux assimilé par l’organisme.
Le cuivre joue un rôle déterminant dans la qualité des cartilages et l'intégrité du tissu conjonctif, la minéralisation osseuse, la régulation de neurotransmetteurs, la fonction cardiaque, les fonctions immunitaires et le métabolisme du fer.
Par ailleurs, le cuivre est un puissant antioxydant permettant ainsi de lutter contre les radicaux libres. Cependant, consommé en excès sous sa forme libre, il peut au contraire favoriser la production de ces radicaux libres.
L’absorption du cuivre est diminuée par de forts apports en zinc.
Bien que le cuivre soit vital pour l’organisme, les besoins, eux, sont relativement faibles. L’ANSES a défini un apport satisfaisant (croissant avec l’âge), basé sur les recommandations de l’EFSA, de 1,9 mg/j pour les hommes et 1,5 mg/j pour les femmes. Pour la femme enceinte ou allaitante, une augmentation de 0,2 mg/j est conseillée. (EFSA)
D’après les données Ciqual, les principales sources alimentaires de cuivre sont : les abats (foie de veau – environ 20 mg/100 g), les crustacés et mollusques (calamar 2,11 mg/100 g, crabe 1,99 mg/100g) ainsi que les graines (graine de lin 1,22 mg/100g, sarrasin 1,1 mg/100 g).
Les carences en cuivre peuvent engendrer une anémie, une fragilité osseuse, des retards de croissance et une plus grande sensibilité aux infections, tandis qu’une consommation excessive d’aliments riches en cuivre peut entraîner des atteintes hépatiques sévères. Toutefois, les carences et les apports excessifs en cuivre restent très rares de nos jours et une alimentation équilibrée procure la quantité nécessaire à l’organisme.
L’ensemble des produits Kriss‑Laure (hormis la gamme Tonic) sont enrichis en cuivre. Les minéraux sélectionnés par Kriss-Laure pour enrichir ses produits sont sous forme d’extrait de levure enrichi d’origine naturelle, en quantités équilibrées pour vous permettre de bénéficier de tous leurs avantages santé. Les études montrent que l’ensemble des vitamines et minéraux liés à des levures sont absorbés plus lentement et présentent ainsi une meilleure biodisponibilité que les autres formes de ces substances.
www.anses.fr/fr/system/files/NUT2018SA0238Ra.pdf ; ciqual.anses.fr
]]>En effet, cette substance obtenue grâce au travail acharné des abeilles a des propriétés sucrantes très intéressantes. Ce n’est pas son seul atout puisqu’il est également considéré, et ce depuis des siècles, comme un « aliment santé » exceptionnel pour ses vertus antibactériennes, anti-inflammatoires et antioxydantes.
Le miel contient environ 78 à 80 % de sucres répartis en glucose et en fructose qui sont tous deux des sucres dits simples. Il est composé également d’environ 17 % d’eau, 2 à 3 % d'acides aminés, de vitamines (principalement des vitamines du groupe B) et de minéraux (potassium, magnésium, zinc…) et de nombreuses autres substances biologiques et aromatiques (flavonoïdes, pollen…). Les miels les plus foncés sont les plus riches en minéraux.
Le sucre blanc contient 99,9 % de sucre et exclusivement sous forme de saccharose. Le saccharose présent dans le sucre augmente plus rapidement le taux de sucre dans le sang que le miel, lui octroyant ainsi un index glycémique plus élevé.
Autre différence significative, le sucre blanc étant entièrement raffiné il est dépourvu de toutes substances nutritionnelles. Le miel est un sucre naturel n’ayant subi aucune transformation et a de ce fait conservé ses micronutriments.
Enfin, le miel a un pouvoir sucrant 30 % plus élevé que le sucre. Un atout non négligeable puisque cela signifie que les quantités de miel consommées seront plus faibles que pour le sucre blanc.
Le miel est un puissant antimicrobien. En effet, la faible concentration en eau et en protéines et le pH acide du miel inhibent la croissance des micro-organismes et des champignons. De plus, le miel contient une enzyme, nommée glucose oxydase, qui produit du peroxyde d'hydrogène (comme dans l'eau oxygénée), un antiseptique naturel. Outre son action antibactérienne directe, le miel permettrait de combattre les infections en stimulant le système immunitaire. Il est traditionnellement utilisé pour combattre les maux de gorge de l’hiver.
Autre vertu reconnue du miel : son activité antioxydante. La présence de flavonoïdes et de polyphénols fait de cet aliment un allié contre la prolifération de radicaux libres.
Enfin, certains lui attribuent un rôle anti-inflammatoire et notamment au niveau des maladies chroniques de l'intestin.
Nombreux sont les effets du miel sur la santé. Toutefois, il existe une multitude de variété de miel et en fonction du nectar de la plante à partir duquel il est produit, ses propriétés sont variables. Par exemple, le miel de thym ou d’eucalyptus sont utilisés pour lutter contre les virus respiratoires de l’hiver.
Kriss‑Laure a développé sa nouvelle gamme KRISSlife pour répondre à des besoins spécifiques de l’organisme. La première innovation de cette gamme est la boisson IMMUNi-T qui comme son nom l’indique est destinée à booster l’immunité et la vitalité. Enrichie en vitamines, minéraux et actifs d’origines naturelles, IMMUNi-T contient aussi de la poudre de miel qui au-delà de ses bienfaits permet d’apporter des notes douces et gourmandes.
]]>Les apports suffisants en sélénium ont été définis par l’ANSES à hauteur de 70 µg/j pour les femmes et les hommes adultes. Le besoin est supérieur chez la femme allaitante, où l’apport conseillé est fixé à 85 µg/j.
Le sélénium est principalement contenu dans certains poissons, fruits de mer et algues (kombu), la viande, les œufs et les oléagineux. La noix du Brésil est particulièrement connue pour sa richesse en sélénium, selon certaines sources consommer une noix par jour permettrait de couvrir ses besoins quotidiens.
Le sélénium contribue principalement :
La carence en sélénium est relativement rare. Elle peut cependant concerner les personnes souffrant de maladies intestinales chroniques comme la maladie de Crohn ou la colite ulcéreuse. La carence peut se traduire par des troubles cardiovasculaires, une faiblesse musculaire, une baisse de l’immunité, de la fertilité masculine et parfois entraîner une fréquence plus élevée de certains cancers.
En excès (au-delà de 300 µg/j), le sélénium peut être toxique et se traduire, entre autres, par des cheveux et ongles cassants et de la fatigue.
Vos produits Kriss-Laure (Potages, Entremets, Barres gourmandes, Mon Smart Repas, Krissport, Idée Délice) contiennent du sélénium apporté principalement via un extrait de levure enrichi d’origine naturelle. Les études montrent que l’ensemble des vitamines et minéraux liés à des levures sont absorbés plus lentement et présentent ainsi une meilleure biodisponibilité que les autres formes de ces substances.
Votre produit IMMUNi-T de la gamme KRISSlife contient également du sélénium, car celui-ci est un allié de taille dans le maintien d’une bonne immunité.
Kriss-Laure a fait le choix d’un parfait équilibre dans le dosage de ses actifs, des produits bien dosés à des teneurs définies sur la base de résultats de nombreuses études scientifiques.
Sources : www.anses.fr/fr/content/les-r%C3%A9f%C3%A9rences-nutritionnelles-en-vitamines-et-min%C3%A9raux#vitamine%20A ;eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=celex%3A32012R0432
]]>L’iode est impliqué dans la synthèse des hormones thyroïdiennes et ce dès le développement fœtal. Ces hormones sont impliquées dans les fonctions, vitales ou non, de l’organisme : développement du système nerveux, croissance, régulation thermique, développement musculaire, métabolisme des glucides et lipides.
Les besoins en iode varient en fonction de l’âge, du sexe et de la situation physiologique. Ainsi, les femmes enceintes et allaitantes ont des besoins plus élevés en iode comparé au reste de la population. Les apports sont déterminants pour le développement du fœtus. Les apports suffisants, définis par l’Anses, sont fixés à 150 µg/j pour les femmes et hommes adultes et à 200 µg/j pour les femmes enceintes et allaitantes.
On retrouve l’iode principalement dans les produits de la mer : poissons, crustacés, mollusques qui en contiennent jusqu’à 400 µg/100 g mais également, dans une moindre mesure, dans les œufs, les produits laitiers et céréaliers.
Pour ce qui est des compléments alimentaires, la réglementation française (arrêté du 9 mai 2006) a fixé la dose journalière maximale d’iode à 150 µg.
Une carence importante en iode peut être à l'origine d'anomalies neurologiques (crétinisme) et de troubles psychomoteurs chez l’enfant. Elle peut conduire au développement d’un goitre (augmentation du volume de la glande thyroïde) mais aussi à des altérations du développement du cerveau. Une carence avant ou pendant la grossesse peut impacter le développement de la thyroïde du fœtus et affecter de façon irréversible son développement neurologique. Pour limiter le risque de carence, un enrichissement universel en iode des sels de table a été recommandé par les autorités internationales et sanitaires (OMS, UNICEF). Cet enrichissement, qui est appliqué en France, contribue encore aujourd’hui à améliorer le statut en iode de la population française. A ce jour, les carences en iode sont très rares dans les pays développés, grâce justement à cet enrichissement systématique.
Vos produits Kriss‑Laure (Potages, Entremets, Barres gourmandes, Mon Smart Repas, Krissport, Idée Délice) contiennent de l’iode apporté principalement via un extrait de levure enrichi d’origine naturelle. Les études montrent que l’ensemble des vitamines et minéraux liés à des levures sont absorbés plus lentement et présentent ainsi une meilleure biodisponibilité que les autres formes de ces substances. Kriss-Laure a fait le choix d’un parfait équilibre dans le dosage de ses actifs, des produits bien dosés à des teneurs définies sur la base de résultats de nombreuses études scientifiques.
Sources : www.anses.fr/fr/content/iode